Tests d’étanchéité à l’air des réseaux VMC
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Description
Pour répondre aux nouvelles exigences des bâtiments très basse consommation, préfigurées par le Label EFFINERGIE + et le label RT 2012, les pouvoirs publics proposent d’imposer les tests d’étanchéité ...
Pour répondre aux nouvelles exigences des bâtiments très basse consommation, préfigurées par le Label EFFINERGIE + et le label RT 2012, les pouvoirs publics proposent d’imposer les tests d’étanchéité à l’air des réseaux de ventilation.
Lorsqu’une installation de ventilation est mise en service, il est rare d’avoir les débits d’extraction ou de soufflage demandés par les BET
et la règlementation. Lors de la mise en service d’une CTA ou d’un caisson d’extraction de 10 000 m3/h, il est souvent constaté aux
bouches seulement 8 à 9 000 m3/h de débit. Il y a donc 10 à 20 % de fuites !
Lorsque ces carences sont constatées par le maître d’ouvrage, l’entreprise de CVC commence par modifier ses réglages sur l’installation,
puis par remplacer le couple poulie / courroie. Si ça ne suffit pas, elle remplace le moteur, les disjoncteurs… et ce dans le seul but de combattre les fuites des réseaux.
Mais à chaque intervention, l’équilibrage des réseaux doit être repris, modifié, car dans le cas contraire, le confort thermique, acoustique et
les vitesses de déplacement d’air ne seront plus au rendez-vous, ce qui générera de l’inconfort.
De plus, en modifiant le rapport poulies/courroies, en remplaçant les disjoncteurs (sous-dimensionnés...) ou même les moteurs, l’installation engendre des surconsommations électriques sans fin. Rappelons que la consommation du moteur d’une centrale de traitement d’air, ou d’un caisson d’extraction, évolue au cube du débit !
Par conséquent, plus le réseau de la centrale jusqu’au diffuseur est étanche à l’air, plus les économies d’énergies seront importantes.
Normes applicables aux mesures de perméabilité à l’air des réseaux aérauliques
• NF EN 1507, NF EN 12237, NF EN 13403, NF EN 12599
• Complément Afnor : fascicule documentaire FD E 51-767
• Référence normative du fascicule : NF EN 14239
Contexte
On observe que la plupart de nos réseaux atteignent un débit de fuite représentant 20% du débit nominal. C’est trois fois plus que pour la classe A qui équivaut à un débit de fuite de 6%. Afin d’atteindre de bonnes performances énergétiques et d’obtenir une bonne qualité d’air intérieur, il est essentiel de réaliser des bâtiments étanches.
Les flux d’air à travers une enveloppe très perméable sont autant gouvernés par le vent ou l’effet de tirage d’une cheminée que par le système de ventilation lui-même. Il est donc très important de ne pas oublier que la conception puis la réalisation des réseaux aérauliques doivent se faire dans l’objectif d’atteindre un certain niveau d’étanchéité tout en prévoyant des équipements de ventilation performants.
Dans la plupart des pays européens, il est admis que l’étanchéité des gaines de ventilation n’est pas un problème essentiel pour effectuer efficacement la distribution d’air à l’intérieur du bâtiment et donc les tests de fuites ne sont pas réalisés car considérés comme une dépense inutile.
Malheureusement, les observations de différentes mises en oeuvre sur chantier mettent le doigt sur des problèmes récurrents en matière d’étanchéité à l’air :
La mesure
La première mesure est quantitative, la seconde est qualitative.
Il s’agit d’abord de raccorder l’appareil de mesure au réseau (préalablement conditionné, i.e. bouches obturées), afin de déterminer le débit de fuite du réseau en question. La deuxième partie qualitative consiste à effectuer un test de fumée pour localiser visuellement les fuites.
Lorsqu’une installation de ventilation est mise en service, il est rare d’avoir les débits d’extraction ou de soufflage demandés par les BET
et la règlementation. Lors de la mise en service d’une CTA ou d’un caisson d’extraction de 10 000 m3/h, il est souvent constaté aux
bouches seulement 8 à 9 000 m3/h de débit. Il y a donc 10 à 20 % de fuites !
Lorsque ces carences sont constatées par le maître d’ouvrage, l’entreprise de CVC commence par modifier ses réglages sur l’installation,
puis par remplacer le couple poulie / courroie. Si ça ne suffit pas, elle remplace le moteur, les disjoncteurs… et ce dans le seul but de combattre les fuites des réseaux.
Mais à chaque intervention, l’équilibrage des réseaux doit être repris, modifié, car dans le cas contraire, le confort thermique, acoustique et
les vitesses de déplacement d’air ne seront plus au rendez-vous, ce qui générera de l’inconfort.
De plus, en modifiant le rapport poulies/courroies, en remplaçant les disjoncteurs (sous-dimensionnés...) ou même les moteurs, l’installation engendre des surconsommations électriques sans fin. Rappelons que la consommation du moteur d’une centrale de traitement d’air, ou d’un caisson d’extraction, évolue au cube du débit !
Par conséquent, plus le réseau de la centrale jusqu’au diffuseur est étanche à l’air, plus les économies d’énergies seront importantes.
Normes applicables aux mesures de perméabilité à l’air des réseaux aérauliques
• NF EN 1507, NF EN 12237, NF EN 13403, NF EN 12599
• Complément Afnor : fascicule documentaire FD E 51-767
• Référence normative du fascicule : NF EN 14239
Contexte
On observe que la plupart de nos réseaux atteignent un débit de fuite représentant 20% du débit nominal. C’est trois fois plus que pour la classe A qui équivaut à un débit de fuite de 6%. Afin d’atteindre de bonnes performances énergétiques et d’obtenir une bonne qualité d’air intérieur, il est essentiel de réaliser des bâtiments étanches.
Les flux d’air à travers une enveloppe très perméable sont autant gouvernés par le vent ou l’effet de tirage d’une cheminée que par le système de ventilation lui-même. Il est donc très important de ne pas oublier que la conception puis la réalisation des réseaux aérauliques doivent se faire dans l’objectif d’atteindre un certain niveau d’étanchéité tout en prévoyant des équipements de ventilation performants.
Dans la plupart des pays européens, il est admis que l’étanchéité des gaines de ventilation n’est pas un problème essentiel pour effectuer efficacement la distribution d’air à l’intérieur du bâtiment et donc les tests de fuites ne sont pas réalisés car considérés comme une dépense inutile.
Malheureusement, les observations de différentes mises en oeuvre sur chantier mettent le doigt sur des problèmes récurrents en matière d’étanchéité à l’air :
La mesure
La première mesure est quantitative, la seconde est qualitative.
Il s’agit d’abord de raccorder l’appareil de mesure au réseau (préalablement conditionné, i.e. bouches obturées), afin de déterminer le débit de fuite du réseau en question. La deuxième partie qualitative consiste à effectuer un test de fumée pour localiser visuellement les fuites.
Certificat obtenu à la fin du diagnostic
- Diminution de la consommation d’énergie
- Bon équilibrage des réseaux
- Amélioration de la qualité de l’air intérieur
- ...
- Diminution de la consommation d’énergie
- Bon équilibrage des réseaux
- Amélioration de la qualité de l’air intérieur
- Diminution des bruits
- Réduction des coûts de maintenance
- Validation des hypothèses de calcul